Bonjour, je suis Florence !

Psychologue de l'orientation scolaire et professionnelle indépendant au Havre

Consultant.e Certifié.e yaplu-k ★★★★★

Florence Faure consultante au Havre
Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir consultant(e) ?

Psychologue de l’adolescent de formation, après un évènement personnel difficile, j’ai souhaité arrêter d’exercer mon poste de clinicienne et j’ai réalisé un bilan de compétences pour construire la suite de mon parcours professionnel. En découvrant le dispositif que j’ai beaucoup aimé, j’ai souhaité devenir consultante en bilan de compétences dans une organisation puis réaliser des bilans d’orientation, à mon compte, ce métier étant novateur et tellement important pour nos jeunes. Depuis 2016, j’exerce à mon compte des bilans d’orientation et des bilans de compétences.

 

Peux-tu nous décrire ton activité et ta manière d’accompagner les bénéficiaires ?
Je réalise une 100aine de bilans d’orientation par an (et réorientation) pour des collégiens, lycéens et étudiants. Je travaille en sous-traitance avec Semafor depuis 2020 (je crois, à vérifier) pour la réalisation de bilans de compétences. Je suis majoritairement « apporteur d’affaires » grâce au bouche à oreilles et à du réseau développé auprès d’assistantes sociales et de CEP. 
 
Qu’est-ce qui te passionne le plus dans ton métier ?
L’accompagnement, l’écoute, la découverte d’un parcours, d’une personne unique avec ses atouts et ses difficultés, en l’aidant à verbaliser, à mieux se connaître pour trouver sa place dans le monde professionnel, pour davantage d’épanouissement personnel.
 
Peux-tu nous partager un projet ou une mission qui t’a particulièrement marqué(e) ?

La création de mon cabinet indépendant : il a fallu tout penser, trouver le lieu, créer un site, construire mon activité, mes tarifs, ma communication, la vitrine du lieu où j’exerce et croire en moi pour me lancer ! Un autre projet m’a apporté beaucoup de satisfaction : j’ai mis en place un projet à l’AFPI du Havre (mon ancien employeur, CFA pour les métiers de l’industrie) qui s’appelle les ceintures de comportement qui consistait à améliorer le savoir être des apprentis. Il a fallu convaincre les formateurs, les former, mettre en place toute la démarche, l’améliorer. J’ai quitté la structure en 2015 et le dispositif existe toujours ! Il est très utile pour la prise de conscience du savoir être chez les jeunes mais aussi pour les entreprises qui embauchent ces jeunes. Tout le monde y gagne !

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