NOUVEAU : Vous envisagez un changement professionnel ?

Étude statistique sur le burn-out

Sommaire
Étude statistique sur le burn-out

Derrière les sourires polis, les mails à l’heure et les « ça va, merci » automatiques, la réalité est parfois toute autre : au boulot, on tient, mais on souffre voire on est au bord du burn-out.

En 2025, les psychologues du travail de Yaplu-K ont voulu mettre des chiffres sur ce mal qu’on tait trop souvent. Résultat : une étude menée auprès de 213 personnes, en ligne, gratuite et anonyme, pour faire le point sur ce qui coince. 

👉 Lire aussi notre précédente étude sur la santé mentale au travail

Une souffrance au travail banalisée, mais bien réelle

Chez Yaplu-K, on accompagne au quotidien des personnes en questionnement professionnel. Ce qu’on voit ? Des doutes, du stress, de la démotivation, une envie de tout envoyer balader… Bref, une souffrance qui ne se limite pas à quelques cas isolés. Elle est devenue structurelle. D’où l’idée de prendre le pouls, de manière simple et accessible, grâce à un formulaire en ligne.

En quinze minutes top chrono, les répondants ont partagé leur vécu, leurs ressentis, leurs ras-le-bol. Et les chiffres parlent.

L’essentiel de l’étude burn-out

Souffrance au travail infographie

📥 Télécharger l’infographie

📥 Télécharger l’étude en pdf

Qui a répondu à l’enquête sur la souffrance au travail ?

Ce sont surtout des femmes (58,8 %), âgées de 30 à 40 ans (53,6 %) : une tranche de vie charnière où les responsabilités perso/pro s’entremêlent, et où les remises en question s’intensifient.

Plus d’un tiers (36,8 %) a plus de dix ans d’expérience professionnelle. En clair : ce sont des personnes installées dans le monde du travail, mais qui n’y trouvent plus leur compte.

Premier facteur de risque : le stress, ce colocataire envahissant

Un chiffre qui claque : 84 % des répondants estiment que leur niveau de stress est épuisant.

  • 56 % pointent un environnement de travail tendu.
  • 40 % décrivent leur quotidien pro comme anxiogène.
  • 29 % parlent carrément d’un cadre toxique ou invivable.

Et pendant ce temps, 51 % font semblant d’aller bien. Oui, la moitié. Parce qu’on n’a pas toujours le droit (ou le luxe) de dire qu’on va mal.

Quand les relations se dégradent… Les statistiques sur la souffrance au travail ne mentent pas

Autre facteur qui pèse : l’humain.

  • 15 % ressentent une pression continue du manager.
  • 41 % ont besoin de s’isoler, de souffler, de sortir du collectif. Et ce n’est pas un caprice : c’est une question de survie mentale.

Derrière la façade de l’entreprise bienveillante, les dynamiques internes peuvent user, blesser, voire casser.

Motivation en baisse, envie d’ailleurs : voici les autres chiffres du burn-out

Quand on gratte un peu, ce qui revient en boucle, c’est une perte de sens.

  • Seuls 27 % trouvent encore du sens à leur travail.
  • 43 % pensent à quitter leur poste.
  • 23 % envisagent carrément une reconversion.

On n’est plus juste dans une crise passagère. On est face à un besoin de rupture, de renouveau, de reconstruction.

Alors, on fait quoi maintenant ?

Ces chiffres ne doivent pas rester au fond d’un rapport. Ils doivent nous faire bouger.

👉 Côté employeurs : il est temps de repenser l’organisation du travail, le management, les rythmes, la charge mentale.


👉 Côté individus : il est peut-être temps de lever la tête du guidon, de s’écouter, de demander de l’aide.

Chez Yaplu-K, on est convaincus qu’un outil comme le bilan de compétences peut être un vrai levier pour faire le point, retrouver du sens, oser changer. Parce que non, on n’est pas condamné à subir.

Pour en savoir plus : yaplu-k.fr

Nous contacter

Vous souhaitez évaluer votre niveau de souffrance au travail ?

Faites financer votre accompagnement

Financement par le CPF, par l’entreprise, pole emploi… Difficile de s’y retrouver !
Dans ce guide, vous trouverez en détail :

  • Les possibilités de financement adaptées à votre situation
  • Les démarches à effectuer pour chaque cas spécifique
  • Les points à vérifier avant de choisir un organisme de bilan